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Ayalon dans sa déclaration. Je ne suis pas très fan de ce genre de production, mais je le recommande à ceux qui aiment les films du type survival. A cause de ces loups hypers agressifs et plus vicieux que des vélociraptors. Grand film qui fait voyager, dans le temps et l'espace, et aussi réfléchir un tout petit peu sur les grands gâchis que nous, les humains, sommes si doués pour produire dans bien des domaines, mais souvent contre nous-mêmes. Mercredi 14 Novembre -

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Paysages époustouflants dans lesquels on évolue au fil des saisons, rencontre d'un grand nombre d'animaux admirablement filmés dans leur quotidien, de grands espaces encore préservés qui nous invite à l'humilité et nous ramène au sens profond de la vie, à la simplicité, Le film met tout de même en avant la facilité admise à entrer en guerre Pawnees contre sioux et le prosélytisme des idéologies confédérés lors de la guerre civile Américaine, à l'image du Major qui se tue au son de "le roi est mort vive le roi" Je pense que tu devrais retourner à tes films du genre Twilight ; Ceux qui arrive à trouver ce film ennuyeux n'ont RIEN compris du cinéma! Après cet incident, l'ambassadeur turc avait déclaré qu'en 30 ans de carrière il n'avait jamais été autant humilié. Pourquoi ne pas tenter l'expérience? On savoure chaque minute du film et on ne voit pas le temps passer tellement le tout est bien ficelé.

KarrasRockatanskycinephage.

Le territoire des Loups Joe Carnahan - Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés après Un film aussi dévastateur qu'un uppercut en plein visage, un missile émotionnel qui vrille les tympans, fissure l' âme et touche au coeur A partir d'un canevas on ne peut plus classique, déjà illustré dans un registre similaire - d'assez belle manière, quoiqu'avec une certaine propension au pathos - dans les Survivants de Frank Marshall en d'après l'histoire vraie du crash d'un avion transportant des joueurs de football américains dans la cordillère des Andes, les survivants du crash étant forcés de se livrer à l'anthropophagismeJoe Carnahan se livre à un dynamitage d'une rare efficacité des codes intrinsèques du "survival", comme il l'avait déjà fait pour le polar dans l'excellent Narc.

On retrouve ainsi tout ce qui fait la force de la vision de Carnahan, à commencer par une direction d'acteur au cordeau Liam Neeson, grand par la taille et le talent, d'une intensité remarquable, force de la nature en mouvement, bloc de charisme au visage granitique; Dallas Roberts, qui dégage une émotion intense, Dermot Mulroney, et surtout le film est un bel écrin pour le talent de Frank Grillo - que je ne connaissais pas - qui réserve la plus belle scène du film: Spoiler cliquez pour afficher à bout de force, il décide d'arrêter de se battre, s'assoie sur un tronc, et attends la mort avec un mélange de stoïcisme forcené et de résignation, le tout filmé en plan moyen dans une séquence déchirante Dès l'introduction du film, magnifique, le réalisateur fait confiance aux images - glacées et glaçantes- et imprime durablement la rétine du spectateur par sa profonde mélancolie diffuse, son fatalisme désespéré, sa douleur tangible Sous la carapace monolithique de Liam Neeson se joue une lutte perpétuelle pour la survie et sommeille les séquelles du traumatisme originel, dévoilé lors de flash-back d'une rare délicatesse qui laissent dans la bouche le goût amer d'un Paradis perdu.

Le Territoire des Loups

Aucun manichéisme ici, les personnages finissent par révéler leurs failles, et le cinéaste se fait un point d'honneur à révéler leur grandeur d'âme à travers un simple geste, une expression ou un regard. La menace omniprésente est celle des loups, présentée comme une horde fantômatiquedont les assauts sont traités comme dans un film d'horreur, brusques éclairs de violence d'une brutalité estomaquante, où le pourpre du sang vient souiller le blanc immaculé des étendues neigeuses.

Joe Carnahan se permet même de avdc au passage une séquence de crash aérien d'une brutalité à faire passer la territooire similaire ouvrant ouvre Destination Finale pour une aimable bluette destinée aux lectrices prépubères fans de Twilight et amoureuses de Marc Lévy attaque très facile, mais mon dieu, ça fait un bien fou Impossible de ne pas penser à Delivrancele chef d'oeuvre séminal de John Boorman, mais là où ce dernier faisait mine d'entretenir le mythe rousseauiste d'une Nature préservée de la folie des hommes, avant de montrer que cette soi-disant pureté n'était qu'une construction mentale de l'homme en question, chez Carnahan la sauvagerie de la Nature on pourrait parler du "wild" comme chez Jack London n'est que le reflet de la folie des Hommes.

Ce que la Nature donne la vieelle le reprend aussi facilement la mort. D'ailleurs, en parlant de Jack London, impossible de ne pas évoquer son oeuvre-phare, Croc-Blanc considéré comme un "livre pour enfant", alors qu'il s'agit d'une oeuvre d'une sauvagerie totaletant les assauts de la meute contre les survivants dans Le territoire lokps loups me font penser aux attaques répétées des loups contre le campement au début du livre.

Aussi étrange que cela puisse paraître, le film me fait aussi beaucoup penser à Predatortant l'esthète Mctiernan davantage un "metteur en espace" qu'un simple metteur en scène selon moi et le frondeur Carnahan partagent la même visée: Enfin il faut remonter à Sans Retourle meilleur film de Walter Hill selon moi, pour goûter un "survival" aussi hargneux, radical et jusqu'au-boutiste.

Boorman, Mactiernan, Hill, Jack London Autant de références prestigieuses parfaitement digérées par Carnahan, qui livre une oeuvre à la poésie rugueuse, d'une brutalité estomaquante et gorgée d'émotions. D'ores et déjà mon film dws de ce début d'année.

Si vous voulez passer en quelques secondes d'une tension insoutenable à des moments oniriques empreints d'une poésie réellement palpable, n'hésitez pas Tranchant, brutal, émouvant, sans un poil de gras Avec un Liam Neeson charismatique et convaincant, qui "bouffe" malheureusement une galerie de personnages secondaires, pourtant loin d'être inintéressants, comme le souligne StateOfGrace Mais Carnahan maîtrise cette histoire sauvage, qui montre ce qui est censé représenter la lie de l'humanité pour en montrer les bases de cette dernière.

Utoorrent bonne séance de suspense et de tension, telle qu'on aimerait en voir plus souvent Mother, I miss you. Les suivants étaient sympa mais décevants, mais là avec ce The Greyc'est vraiment le Carnahan de Narc qui est de retour.

Le Territoire des Loups - film - AlloCiné

Un film d'hommes, des hommes dans la douleur. Au chapitre des référence j'ai aussi beaucoup pensé à La Ligne Rouge de Mallick. Narc était puissant, le reste de sa filmo était plus que territoirw mais un peu vain. J'espère qu'avec The Grey, Carnahan va nous refaire une oeuvre avec de "vrais" personnages et par conséquent une dose non négligeable d'émotion!

Terrtioire les critiques que j'ai lu, c'est le cas. Narc m'avait mis une belle claque à sa sortie. Mes films du mois. Un petit survival un peu cheap les loups donc Le film fonctionne mieux quand les loups ne sont pas dans les parages et surtout quand il ne sont pas uniquement là au service du scénario pour relancer l'action. On uttorrent pu également se passer aveec visions "au seuil de la mort". Liam Neeson est comme toujours très bon mais ses comparses n'ont pas beaucoup de présence.

C'est finalement un peu dommage parce qu'on sent parfois utorent Carnahan en a sous le coude la scène du crash, la traversée au-dessus du vide, les rapides, le "renoncement" de Diaz. A la base je ne misais pas spécialement sur ce film, tel que vendu par sa bande-annonce Ils nous sont ressortis toutes les 15 minutes Mais il le fait d'une façon tellement pataude utorfent en usant de codes formels tellement éculés que ça ne fonctionne finalement que de façon partielle Spoiler cliquez pour afficher Ex: C'est dommage encore une fois car les meilleurs moments le crash, les moments de fuite, les arbres, les torrents, Spoiler cliquez pour afficher la fin de Diaz montrent bien que Carnahan n'est pas un metteur en scène en bois et qu'avec un bon dégraissage aux entournures, il pourrait aspirer à briller "par le vide" comme l'ont fait avant lui Carpenter ou McTiernan, qu'on ne peut s'empêcher de se remémorer ici et là.

Et Liam Neeson est superbe de présence. C'est trop plombé par des lourdeurs visuelles, des inserts de flash back complètement tartes avec une musique bien fadasse.

Et les dialogues ne sont pas bons. C'est dommage parce que le synopsis était intéressant, Liam Neeson impeccable mais bon effectivement y'a que lui qui a wvec peu de présence et le chef op a fait du bon boulot.

Il y a pas mal de grain à l'image ce qui accentue l'effet de réalisme des décors extérieurs et la rudesse du climat. De ce aec de vu là c'est assez crédible.

Spoiler cliquez pour afficher Ex: Obviously the world is not a wish-granting factory The fault in our stars, Josh Boone, Pour caler mes bennos.

Quelqu'un saurait ce qu'on y voit? Quelqu'un saurait ce qu'on y voit. Dernière édition par StateOfGrace le dim.

Film turc La vallée des loups: réaction exagérée et excuses d'Israël (médias)

J'ai corrigé le tir, mais le mal est fait. Le film accumule trop les lourdeurs dramatiques pour réellement atteindre le niveau d'épure visé.

Et, c'est d'autant plus regrettable qu'il possède quelques scènes qui donnent envie d'y croire le crash, les arbres, le torrent Je suis beaucoup plus enthousiaste pour ma part, cela dit on va pouvoir découvrir le Kalatazov prochainement, vu qu'il sort chez Criterion le mois prochain.